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La lutte contre le bruit est devenue un enjeu de santé publique. Parmi les sources de nuisances sonores, les transports arrivent en première position. Le Conseil départemental de la Somme, propriétaire et gestionnaire des routes départementales, a ainsi réalisé un Plan de Prévention du Bruit dans l’Environnement (PPBE). Ce document se compose d’un diagnostic des zones exposées au bruit ainsi que d’un plan d’actions en faveur d’une baisse des nuisances sonores issues du trafic routier.
Dans le cadre de la directive européenne « bruit » n°2002-49 du 25 juin 2002, le projet de plan de prévention du bruit dans l’environnement 4ème phase (PPBE) des infrastructures routières départementales a été élaboré par le Département de la Somme. Celui-ci fait suite aux trois précédents volets qui portaient respectivement sur les routes où circulent plus de 8 200 véhicules par jour et 16 400 véhicules par jour et à l’évaluation des actions du Département. Le PPBE phase 3 a été approuvé le 5/12/2022. La phase 4 permet d’intégrer les nouvelles cartes de bruit stratégique définies par les services et arrêtées par le préfet de la Somme le 30/01/2024. Conformément à l’article R572-9 du code de l’Environnement, le PPBE phase 4 est mis à disposition du public avant d’être arrêté par les instances du Conseil départemental de la Somme.
Le document est consultable jusqu’au 12 novembre 2024 ci-dessous ainsi qu’au siège du Département situé au 43, rue de la république où un registre est mis à disposition du public pour remarques éventuelles.
Vous pouvez également apporter vos remarques sur l’adresse contact@somme.fr en indiquant obligatoirement dans le sujet PPBE phase 4.
La sectorisation est le rattachement d’un lieu de résidence à un établissement scolaire public. Elle permet de proposer aux élèves une place dans un collège public le plus proche possible de leur domicile.
Le site Ramsar « Marais et tourbières des vallées de Somme et de l’Avre »
Mis à jour le 10/10/2025
Sous l’impulsion du Conseil départemental de la Somme et grâce à la mobilisation de l’ensemble des partenaires concernés, le 18 décembre 2017, les marais et tourbières des vallées de la Somme et de l’Avre ont été inscrits à la liste des zones humides d’importance internationale.
Ce nouveau site classé s’étend sur 13 100 hectares et comprend la haute et moyenne vallée de la Somme et son principal affluent, l’Avre, ainsi que les marais et tourbières adjacents, sur un linéaire de près de 200 km soit l’un des plus vastes complexes tourbeux du nord-ouest de l’Europe.
Le site se distingue par sa grande richesse écologique : une faune particulièrement riche et une concentration d’habitats et d’espèces rares et menacées. La vallée de la Somme a en outre une grande importance culturelle et historique. Les anciennes terrasses du fleuve abritent les toutes premières traces d’occupation du nord-Ouest de l’Europe par l’Homme.
Cette labellisation récompense et encourage à poursuivre les actions de préservation engagées depuis plusieurs années par les acteurs locaux.
Ainsi le Département de la Somme, en tant qu’organisme coordinateur du site, a élaboré avec l’appui et la contribution de l’ensemble des acteurs du territoire, le Plan de gestion 2023-2029 du site Ramsar « Marais et tourbières des vallées de Somme et de l’Avre ».
Cette feuille de route détermine les mesures à mettre en œuvre afin de préserver, gérer et valoriser les zones humides de ce périmètre.
Dans le cadre de son plan de gestion Ramsar, le Département met en place des projets estampillés « projets pilotes ». Parmi eux, voici ci-dessous des exemples de recherches et d’actions concrètes dont les objectifs sont d’améliorer les connaissances, d’optimiser la gestion des milieux naturels et de sensibiliser les acteurs impliqués et le grand public face aux enjeux présents !
Le plan de gestion Ramsar des Marais et tourbières des vallées de la Somme et de l’Avre prévoit de « compléter les connaissances sur les espèces et les habitats d’intérêt » notamment grâce à la bioacoustique et souligne le besoin d’améliorer les connaissances sur les oiseaux d’eau.
La bioacoustique est une technologie en plein essor. Elle consiste à étudier, à partir de capteurs, les signaux acoustiques (chants, cris…) échangés entre les animaux. Grâce à cette technique, il est possible notamment de déterminer le cortège d’espèces d’oiseaux, d’identifier la présence d’espèces rares ou emblématiques même discrètes (chants de nuit…) et de mieux comprendre les interactions entre ces espèces et leurs environnements.
Ces enregistrements sont analysés grâce à l’intelligence artificielle. Ainsi, des quantités très importantes de données peuvent être étudiées et exploitées rapidement. L’ensemble des données brutes enregistrées est conservé et peut être analysé ultérieurement pour d’autres groupes d’êtres vivants (insectes…).
Le protocole mené dans la Somme, confié à l’entreprise Biophonia, permet aussi de collecter des données en continu sans déranger la faune, et offre une vision fine et fiable de la dynamique écologique des sites étudiés. En plus de produire une grande quantité de données précises, cette méthode permet d’étudier l’évolution du paysage sonore (pollution, rythmes naturels, qualité environnementale), de suivre les impacts des travaux de renaturation ou d’aménagement et d’adapter les mesures de gestion environnementale en temps réel.
D’autre part, avantage incontestable de la bioacoustique, les ambiances sonores enregistrées peuvent constituer un support adapté pour être valorisées auprès du grand public (organisation de balades sonores…). Ces supports peuvent également permettre à des personnes en situation de handicap (malvoyants…) d’appréhender les milieux naturels.
L’étude consiste à mettre en place un suivi par bioacoustique, avant travaux, sur le site de la future réserve des Boucles de la Somme à Etinehem-Méricourt afin de disposer d’un état zéro, préalable indispensable pour réaliser des comparatifs ultérieurs.
Des capteurs ont donc été installés au printemps 2024. Pour disposer de points de comparaisons, des capteurs ont aussi été installés, en parallèle, sur le site en Espaces Naturels Sensibles (ENS) des Alentours de Samara, qui dispose d’habitats naturels comparables, et d’autres vont être installés sur l’ENS des Étangs de Cléry-sur-Somme potentiellement impacté par la construction du pont canal du futur Canal Seine-Nord-Europe (CSNE). Ces sites présentent des milieux humides particulièrement favorables à l’avifaune et font l’objet de travaux de restauration ou d’aménagement écologiques d’envergure.
Les enjeux de cette étude sont multiples :
Disposer de données précises qualitatives et quantitatives sur les oiseaux d’eau du site et leur évolution
Suivre et valider la pertinence des travaux réalisés et si besoin, en adapter les mesures de gestion
Contribuer plus globalement à l’amélioration des connaissances sur les oiseaux d’eau du site Ramsar
Proposer et tester, avant un déploiement éventuel à plus grande envergure, une solution innovante : la bioacoustique
Faire du site d’Etinehem-Méricourt, une zone d’étude (futur « site atelier » potentiel) et une vitrine permettant d’optimiser la gestion des milieux naturels
Les premiers relevés ont permis de confirmer la présence de plusieurs espèces d’intérêt patrimonial : Blongios nain, Gorgebleue à miroir, Marouette ponctuée, Bihoreau gris, par exemple.
Les partenaires du Département pour ce projet sont l’Agence de l’eau Artois-Picardie qui cofinance, le prestataire Biophonia, ainsi que les partenaires techniques : Conservatoire d’espaces naturels des Hauts‑de-France et Picardie nature.
Voici quelques enregistrements réalisés :
Le site Ramsar des « Marais et tourbières des vallées de la Somme et de l’Avre » constitue la plus vaste tourbière alcaline d’Europe de l’Ouest : un vrai réservoir d’eau, de biodiversité et de carbone.
Qu’est-ce qu’une tourbière ?
Une tourbière est une zone humide colonisée par la végétation dans un milieu saturé en eau. On y trouve la tourbe, une matière végétale fossile pauvre en oxygène où la décomposition des matières organiques est ralentie.
Les tourbières ne constituent pas un écosystème homogène, mais plutôt une mosaïque de structures végétales, d’écosystèmes et de paysages variés. Ce type de zone humide abrite souvent de nombreuses espèces rares, spécialisées, protégées et/ou menacées. Les tourbières offrent également des opportunités pour les espèces migratrices de se reposer et d’hiverner.
Les tourbières jouent un rôle de régulation des flux hydriques, en retenant l’eau pendant une période plus ou moins longue avant de la restituer au milieu. En régulant le débit de l’eau, les tourbières permettent d’adoucir les phénomènes de crue. Et, en restituant progressivement l’eau à son milieu, les tourbières maintiennent un débit d’eau minimal dans les cours d’eau en été.
Les végétaux qui croissent en tourbière permettent de purifier l’eau qui la traverse, en utilisant pour leur croissance les matières minérales et organiques en excès, et permettent ainsi un assainissement de l’eau.
Les tourbières représentent les puits naturels de carbone les plus importants de tous les milieux émergés, grâce à la diversité des espèces végétales qui va améliorer la séquestration de carbone.
Des travaux de recherche soutenus par le Département
Les tourbières des vallées de la Somme et de l’Avre sont alcalines, leur ph est basique, lié à la présence de la craie qui confère ses caractéristiques à la tourbe.
Le Département a initié un projet de recherche scientifique en partenariat avec l’Agence de l’eau Artois Picardie, l’UPJV, le CEN HDF et le CNRS, pour mieux comprendre l’histoire de la formation de la tourbe et mieux gérer les milieux aujourd’hui.
Le Département a soutenu le projet de thèse « Archéofen » et son prolongement avec le post-doctorat « FenSom », en collaboration avec l’Université Picardie Jules Verne (UPJV). Ce travail a considérablement enrichi notre compréhension des mécanismes de formation de la tourbe et des paysages de la vallée, confirmant la présence d’importants stocks de tourbe, et donc de carbone fossile, au fond de la vallée de la Somme.
Dans le contexte actuel de changement climatique, le rôle crucial du stockage de carbone est aujourd’hui pleinement reconnu. Aussi, pour mesurer l’évolution du stock de carbone dans la tourbe à court, moyen et long terme et pour capitaliser sur les recherches déjà effectuées, le Département a souhaité poursuivre le partenariat avec le monde universitaire dans le cadre d’un projet d’étude intitulé « MicroB²Som ».
Piloté par l’Université Picardie Jules Verne (UPJV) d’Amiens, ce projet mobilisera de nombreux acteurs locaux. Il vise à approfondir notre connaissance des microclimats de la vallée de la Somme, dans l’optique d’anticiper et d’atténuer les effets du changement climatique en adaptant la gestion et la préservation des milieux naturels. Parallèlement, des premières mesures sur les échanges de carbone et de gaz à effet de serre entre la tourbe et l’atmosphère seront réalisées.
Le Département se doit de rétablir la libre circulation des poissons migrateurs en « effaçant » les barrages sur son domaine, soit par des travaux d’aménagement (passes à poissons, rivières artificielles), soit par des mesures de gestion des ouvrages.
Afin de favoriser la continuité hydro-écologique sur le fleuve Somme et faciliter la migration des poissons, le Département a aménagé des rivières artificielles et passes à poissons sur 8 sites, pour un coût total (travaux et études) de près de 3,7 M€.
70% de la population du département vit à proximité du site Ramsar des marais et tourbières des vallées de la Somme et de l’Avre. Ce site joue un rôle central pour l’agriculture locale et l’économie des loisirs, notamment via les équipements aménagés par le Département : – la Véloroute Vallée de Somme, long itinéraire cyclable de 120 km aménagé le long du chemin de halage entre Péronne et Saint-Valery-sur-Somme – les 50 belvédères, disposés le long du fleuve ou sur les plus beaux points de vue de la vallées, destinés à valoriser l’histoire et les paysages de la Somme – les Maisons éclusières le long du fleuve, aménagées en sites touristiques
Zones de préemption sur les Espaces Naturels Sensibles
Mis à jour le 01/10/2025
La politique de protection des espaces naturels sensibles est née de la loi du 18 juillet 1985, amendée en 2003, donnant aux Départements la possibilité « d’élaborer et mettre en œuvre une politique de protection, de gestion et d’ouverture au public des espaces naturels sensibles, boisés ou non » avec pour objectif « de préserver la qualité des sites, des paysages, des milieux naturels et des champs naturels d’expansion des crues et d’assurer la sauvegarde des habitats naturels » (article L 113-8 du code de l’urbanisme).
Pour mettre en œuvre cette politique, le Département a la possibilité de créer des zones de préemption et d’acquérir des espaces naturels.
Le développement des zones de préemption est ciblé dans la « Stratégie foncière du Département » approuvée par l’Assemblée départementale en 2021.
Qu’est ce qu’une zone de préemption ?
Une zone de préemption au titre des espaces naturels sensibles est un espace à l’intérieur duquel le Département est prioritaire pour se porter acquéreur des terrains ou des droits sociaux donnant vocation à l’attribution en propriété ou en jouissance de terrains qui font l’objet d’une aliénation à titre onéreux.
Le Conservatoire de l’Espace Littoral et des Rivages Lacustres
lorsqu’il est territorialement compétent ou la commune où se situe le
terrain qui doit être aliéné, peuvent se substituer au Département si
celui-ci décide de ne pas exercer son droit de préemption.
Le Département a également la possibilité de déléguer l’exercice de
ce droit de préemption sur un ou plusieurs secteurs de la zone de
préemption ou lors d’une aliénation d’un bien soumis à ce droit au
Conservatoire de l’Espace Littoral et des Rivages Lacustres si celui-ci
est territorialement compétent ou à la commune où se situent le(s)
secteur(s) ou le bien aliéné.
Dans le cadre de cette délégation, ces derniers exercent le droit de
préemption dans les mêmes conditions que celles fixées pour le
Département.
Actuellement 71 communes sont concernées par une zone de préemption au titre des espaces naturels sensibles. Le Conservatoire du Littoral intervient sur 30 d’entre elles. Un tableau joint en annexe retrace les conditions de mise en œuvre du droit de préemption au titre des espaces naturels sensibles.
Préserver la qualité des sites, des paysages, des milieux naturels et des champs d’expansion des crues.
Aménager ces espaces naturels pour être ouverts au public, sauf exception justifiée par la fragilité du milieu naturel.
Comment est-elle définie ?
Ce périmètre est établi en accord avec les collectivités locales concernées par le(s) projet(s) de zone de préemption et détentrices de la compétence Plan local d’urbanisme (PLU) : communes, communautés de communes, communautés d’agglomération. Le Conservatoire de l’Espace Littoral et des Rivages Lacustres lorsqu’il est territorialement compétent et le Conservatoire d’espaces naturels Hauts-de-France notamment sont également associés à la définition de ce périmètre. Enfin, les organismes agricoles et forestiers sont par ailleurs consultés.
L’intérêt écologique des sites est établi à partir des inventaires naturalistes existants (Zones Naturelles d’Intérêt Ecologique Floristique et Faunistique (ZNIEFF), Natura 2000, Schéma des espaces naturels de la Somme, …) et d’expertises de terrain réalisées par les partenaires du Département.
Les principaux motifs justifiant l’acquisition de terrains au titre de
la politique en faveur des espaces naturels sensibles sont :
Préserver les milieux et la biodiversité existants par des mesures de gestion appropriées,
Remettre en état des milieux dégradés (zone humide remblayée, habitats légers illégaux),
Offrir des paysages de qualité aux habitants de la Somme,
Maintenir et mettre en valeur les usages traditionnels (chasse, pêche, élevage…),
Proposer au public des espaces de découverte de la nature et de pratique de loisirs de pleine nature.
Lorsqu’un terrain situé en zone de préemption fait l’objet d’une aliénation à titre onéreux, une Déclaration d’intention d’Aliéner (DIA) (cerfa 10072*02) est adressée par le propriétaire ou son mandataire (notaire, administrateur de bien) à la présidente du Conseil départemental (par pli recommandé avec demande d’avis de réception, ou déposée contre décharge). A compter de l’avis de réception ou de l’enregistrement ou de la décharge de la DIA par la présidente du Conseil départemental, le Département dispose d’un délai de deux mois pour se prononcer sur l’acquisition de ce terrain et notifie sa décision au propriétaire ou à son mandataire.
Si celui-ci renonce à exercer son droit de préemption, le Conservatoire de l’Espace Littoral et des Rivages Lacustres lorsqu’il est territorialement compétent dispose d’un délai de 75 jours à compter de la réception de la DIA par la présidente du Conseil départemental pour se substituer au Département dans l’exercice du droit de préemption et faire connaître sa décision au propriétaire ou à son mandataire.
A défaut de préemption du Département et le cas échéant du Conservatoire de l’Espace Littoral et des Rivages Lacustres, la commune concernée dispose d’un délai de trois mois à compter de la réception ou de l’enregistrement ou de la décharge de la DIA par la présidente du Conseil départemental pour exercer le droit de préemption et faire connaître sa décision au propriétaire ou à son mandataire.
Lorsque le droit de préemption a été délégué par le Département, le délégataire dispose d’un délai de deux mois pour se prononcer sur l’acquisition et notifier sa décision au propriétaire ou à son mandataire.
Dans le cadre de sa politique au faveur des espaces naturels sensibles, le Département privilégie les acquisitions amiables pour recourir le moins possible à la préemption. Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez adresser un mail à l’adresse dia80@somme.fr, ou téléphoner au 03.22.71.81.41.
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