Une Somme d'initiatives

Mari'né : mangez vite et bien

 À tout juste 25 ans, Marie-Christelle Traullé a ouvert le 1er fast-food haut de gamme à Amiens. Au menu ? Des produits équilibrés, frais et locaux.

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©CB

Originaire de la région, Marie-Christelle Traullé a d'abord posé ses valises à Paris pour sa dernière année de Master en management et gestion d'entreprise. Elle entame par la suite une carrière de manager au sein des Galeries Lafayette Haussman (rayon maroquinerie). Son avenir semble tout tracé et assuré. C'est sans compter la passion de Marie pour la cuisine, transmise par sa mère. «  Ma passion prenait de plus en plus d'ampleur, explique la jeune femme. J'ai fini par me dire que si je ne tentais pas de réaliser mes rêves maintenant, je ne le ferais jamais. » Marie quitte alors en 2017 son travail et sa vie parisienne. De retour à Amiens, celle qui a remporté la première place du concours de cuisine bio et veggie Les Toques bio à Lyon planche sur un projet d'ouverture d'un restaurant. En novembre 2018, le rêve de Marie-Christine Traullé se concrétise. Son restaurant Mari'né ouvre ses portes en plein centre-ville d'Amiens. Le concept ? De la restauration rapide haut de gamme sur place ou à emporter. Tous les produits sont frais, de saison et proviennent des producteurs locaux de la région. Marie-Christelle Traullé met désormais sa passion et ses talents pour la cuisine au service de ses clients. À la carte ? Salades, wraps, soupes, toastés veggie et carni, plats du jour, sans oublier les desserts et gourmandises. La carte est renouvelée chaque saison. À découvrir en continu du lundi au samedi de 9h à 18h.

S.D.

 www.facebook.com/marietrlle

Mari'né : mangez vite et bien

 À tout juste 25 ans, Marie-Christelle Traullé a ouvert le 1er fast-food haut de gamme à Amiens. Au menu ? Des produits équilibrés, frais et locaux.

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©CB

Originaire de la région, Marie-Christelle Traullé a d'abord posé ses valises à Paris pour sa dernière année de Master en management et gestion d'entreprise. Elle entame par la suite une carrière de manager au sein des Galeries Lafayette Haussman (rayon maroquinerie). Son avenir semble tout tracé et assuré. C'est sans compter la passion de Marie pour la cuisine, transmise par sa mère. «  Ma passion prenait de plus en plus d'ampleur, explique la jeune femme. J'ai fini par me dire que si je ne tentais pas de réaliser mes rêves maintenant, je ne le ferais jamais. » Marie quitte alors en 2017 son travail et sa vie parisienne. De retour à Amiens, celle qui a remporté la première place du concours de cuisine bio et veggie Les Toques bio à Lyon planche sur un projet d'ouverture d'un restaurant. En novembre 2018, le rêve de Marie-Christine Traullé se concrétise. Son restaurant Mari'né ouvre ses portes en plein centre-ville d'Amiens. Le concept ? De la restauration rapide haut de gamme sur place ou à emporter. Tous les produits sont frais, de saison et proviennent des producteurs locaux de la région. Marie-Christelle Traullé met désormais sa passion et ses talents pour la cuisine au service de ses clients. À la carte ? Salades, wraps, soupes, toastés veggie et carni, plats du jour, sans oublier les desserts et gourmandises. La carte est renouvelée chaque saison. À découvrir en continu du lundi au samedi de 9h à 18h.

S.D.

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Eurosérum se modernise à Airaines

Sodiaal investit dans son site Eurosérum à Airaines 4,8 millions d’euros sur 4 ans, avec le soutien financier de la Région, du Département et de la Communauté de communes Somme sud-ouest.

Site eurosereum à Airaines

©PhS

Une quarantaine d’emplois (collecte + usine) dont 16 emplois industriels travaillent sur le site avec 1 ou 2 personnes supplémentaires en période de pic d’activité. 30 % de la production laitière du département est transformée à Airaines qui est en capacité de recevoir chaque année 180 millions de litres de lait. Avec ses 2 pasteurisateurs et ses 2 écrémeuses, 4 citernes entrantes de lait cru sont transformées en une citerne de lait concentré après évaporation de l’eau. Le coût de transport est ainsi diminué. Les travaux vont permettre d’améliorer la traçabilité et les différentes étapes de ce processus pour répondre aux exigences de qualité et de sécurité alimentaire des clients, comme Yoplait. L’autre objectif est d’optimiser la dépense énergétique du site. En 2018, les sols des quais ont été refaits, deux nouveaux systèmes automatiques de nettoyage des installations ont été mis en place et une chaudière a été entièrement automatisée. G.Y.

Des légumes solidaires à Gézaincourt

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©PhS

Ch’panier ed’Marius a ouvert en septembre dernier à Gézaincourt, à 3 km de Doullens. L’estaminet de l’Établissement public social et médico-social intercommunal (Epsom80) Georges-Couthon et Nicolas-Roussel connaissait une baisse de fréquentation, tout comme son atelier d’horticulture. Les serres ont donc été reconverties pour la production de légumes, un projet qui émergeait depuis 4 ans, et l’estaminet a été transformé en boutique. Le compost issu des déchets verts récoltés par l’activité « espaces verts » de l’Epsom80 est ainsi valorisé. 5 travailleurs en situation de handicap s’occupent de la production, sans ajout de phytosanitaires, et de la boutique, accompagnés par Blandine Valour. « Une de nos préoccupations était de garder ce contact clientèle très important pour les travailleurs de l’atelier », souligne Cyrille Valour, chef de service de l’établissement et service d’aide par le travail (Esat). Ch’panier ed’marius valorise également des producteurs locaux : bières de Domart-en-Ponthieu, huiles de Rubempré, tisanes de Candas, safran de Villers-Bocage… Tous les jeudis, une dégustation est proposée pour découvrir ces produits. Il est également possible de louer des jeux traditionnels et de profiter de l’espace café pour discuter. Un lieu convivial et solidaire dans le village ! G.Y.

Ch'panier ed'Marius, 2 place de l'église à Gézaincourt, tél. : 03 22 77 73 36. Ouvert les lundi et mercredi de 14h à 16h et le jeudi de 9h à 12h et de 14h à 16h.

 

Laroche industries recherche de nouveaux talents !

Laroche industries est un groupe spécialisé dans l’ingénierie de production, l’usinage complexe et l’assemblage d’aérostructures. Le site de Méaulte, fort de son succès et pour accompagner la diversification de ses activités, cherche à recruter de nouveaux talents.

Cyrille Struy

© Cyrille Struy

Le groupe Laroche industries est présent sur les grands bassins aéronautiques de France : à Toulouse, en région parisienne et à Méaulte. Il emploie au total 400 personnes et réalise un chiffre d'affaires de 50 M€. Une centaine de personnes travaillent sur le site de Méaulte, pour la plupart dans les locaux de Stelia Aerospace. « 3/4 de nos effectifs assurent chez Stelia, notre plus gros client, l'assemblage des sous-ensembles avion ou apportent leurs compétences en ingénierie de production, explique Arnaud Soulet, directeur du site de Méaulte. Nous travaillons également avec de nombreux sous-traitants européens, nationaux et locaux. » Si le groupe se porte bien, il est déjà tourné vers l'avenir et pense à diversifier ses activités. « Pour rester compétitif, nous devons nous développer vers d'autres domaines où nos compétences peuvent être utiles, comme le ferroviaire, les machines agricoles ou encore l'éolien, déclare Arnaud Soulet. Ce projet de développement va s'étendre sur plusieurs années. En parallèle, nous poursuivons nos activités dans l'aéronautique. »

DES EMPLOIS A POURVOIR

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©PhS

Pour accompagner sa croissance, Laroche industries Méaulte recrute des ingénieurs et techniciens supérieurs en bureau d'étude, mais aussi des techniciens contrôle laser en atelier. La société peine néanmoins à « trouver chaussure à son pied » et regrette le manque d'appétence des jeunes pour les métiers de l'industrie. « Nous n'arrivons pas à recruter parce qu'il n'y a pas assez de profils correspondant à nos besoins, analyse Arnaud Soulet. Nous avons des contacts avec les universités et les écoles d'ingénieurs. Nous sommes bien sûr ouverts au principe de l'alternance qui permet de former un jeune à la culture de l'entreprise et de limiter les risques afférents à tout recrutement. Mais le problème c'est que les formations ne sont pas assez remplies. L'industrie souffre d'une mauvaise image, alors qu'aujourd'hui, les métiers y sont variés, le travail est gratifiant et souvent lié à l'utilisation des nouvelles technologies. » Avis aux amateurs !

Sophie Desmaret

EN SAVOIR + : Pour découvrir les offres d'emplois, rendez-vous sur le site de Laroche industries : www.laroche-group.com/recrutement.php frlinkedin.com/compagnylaroche-groupe

La rencontre de la féverole et du chocolat

 

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©CB

Béatrice Maire a découvert la féverole il y a un an sur une manifestation agricole. Cette légumineuse oubliée pour l’alimentation humaine est aujourd’hui à la base des pâtes à tartiner qu’elle a créées : Tartimouss. Des délices au chocolat noir, chocolat-orange, chocolat-noisette ou chocolat au lait et noisettes qui ressemble à s’y méprendre à une célèbre pâte à tartiner. Ce n’est pas pour rien que les tartimouss ont été en finale du concours « food creativ ». Avec seulement 3 ingrédients, la pâte à tartiner fabriquée à Beuvraignes, près de Roye, n’a pas de matière grasse ajoutée ni d’additif et elle contient 2 fois moins de sucre qu’une pâte traditionnelle, sans perdre en gourmandise ! Les féveroles et le sucre sont locaux : une véritable filière est en train de se créer autour de l’entreprise Féverole et Casserole.

G.Y.

RETROUVEZ LES POINTS DE VENTE SUR : chocolatsducroise.fr

Un balai brosse unique fabriqué dans la Somme

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© Biom Paris

Chez Technique et Plasturgie à Bouttencourt on fabrique beaucoup de produits différents, même des balais brosses pour toilettes en forme de feuilles. Les bbb de Biom Paris, dont le siège social se situe à Chantilly dans l’Oise, sont en plastique recyclé ou biosourcé (déchets de betteraves et algues brunes), selon la gamme. Leur forme nervurée leur permet de ne pas goutter et de ne pas accrocher les saletés. La brosse est ainsi plus hygiénique et plus durable puisque sa forme ne s’altère pas avec l’usage. « Et comme tous les aspects environnementaux sont pris en compte, nous reprendrons les brosses des personnes qui souhaitent en changer pour leur offrir une seconde vie en les recyclant à leur tour », souligne Sandra Legel, créatrice de la bbb.

G.Y.

EN SAVOIR +:  biom.paris

Un repère végétal à Amiens

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© CB

La boutique Vivanie a ouvert ses portes rue Henri IV à Amiens. La clientèle y trouve des produits cosmétiques non testés sur les animaux et aux compositions respectueuses de la peau, dont des shampoings ou dentifrices solides produits en France, mais aussi de la nourriture 100 % végétale. Des produits à base de noix de cajou ou de soja fermentés qui rappellent les fromages, dont un large choix fait artisanalement en France, des saucisses de tofu ou des burgers aux légumineuses en passant par les bonbons sans gélatine et des gâteaux sans œuf ni lait, Vivanie propose un vaste choix. Anastasia et Marielle sont à l’écoute des clients et donnent de nombreux conseils. Dégustations, dédicaces et rencontres sont également organisées dans ce lieu convivial.

G.Y.